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Pour la première fois depuis des décennies, le taux de natalité non martral dans les États-Unis est en déclin, selon un nouveau rapport du Centre national des statistiques sur la santé. Le taux a culminé en 2008 à environ 52 bébés pour 1000 femmes célibataires de l'âge de la maternité, avant de passer à 45 naissances en 2013. Comme une diminution de la fécondité globale qui s'est produite depuis 2007, il est fort probable que cette récente décline du taux de natalité non maritime. également survenu à la suite de la récession économique de 2007-2009.
Le taux de natalité non matrimonial continuera-t-il de chuter lorsque l'économie récupère lentement? Il est difficile de savoir, mais de nombreux experts estiment que la fécondité globale rebondira à mesure que l'économie s'améliore, comme cela a été le cas des récessions passées - et la forte fertilité diminue survenue pendant la récession a déjà commencé à se stabiliser, et il semble que comme si les taux de naissance non matrimoniaux peuvent suivre le même cours.
Comment les États-Unis sont-ils comparables à ses voisins européens en termes de part des naissances qui se produisent en dehors du mariage? Dans l'ensemble, les profils sont assez similaires. En 2011, 39% des naissances dans l'Union européenne étaient des naissances non conjugales et des États-Unis de 41%.
Bien que les moyennes soient similaires aux États-Unis et en Europe, la prévalence de l'accouchement non matrimonial varie considérablement des 28 États membres de l'UE.
D'une part, un certain nombre de pays situés principalement dans le nord de l'Europe déclarent des actions relativement élevées de naissances non conjugales. En fait, plus de la moitié des naissances de Norvège, en Suède, en Belgique et au Danemark se produisent maintenant en dehors du mariage.
À l'autre bout du spectre, Chypre, la Croatie, la Macédoine, la Grèce et la Turquie, chaque rapport que moins de 20% des naissances se produisent en dehors du mariage, avec le taux le plus bas - 3% - se produisant en Turquie. Comme les États-Unis, un peu plus de 40% des naissances en Finlande, en Autriche et la République tchèque se produisent en dehors du mariage.
Par rapport aux pays du monde entier en termes de criminalisée non matrimondiale, les États-Unis tombent toujours près du milieu, selon une analyse du centre de recherche de PEW des données des Nations Unies: Bahreïn, Qatar et Koweït, dont moins de 1% des naissances sont à Les femmes non mariées, tandis que, à l'autre bout du spectre, la Guyane française indique que 87% de toutes les naissances se produisent en dehors du mariage.
Bien que le taux de natalité non matrimonial des États-Unis a diminué ces dernières années, la part des naissances des femmes non mariées a été constante à court terme et augmenté considérablement à long terme. En 1960, environ 5% de toutes les naissances étaient des mères non mariées. Ce nombre a atteint 11% d'ici 1970 et d'ici 1990, il avait sauté à 28%. En 2000, la part des naissances des mères non mariées était de 33% et depuis 2008, elle est restée à 41%.
L'augmentation à long terme de la part des naissances à des femmes non mariées a été provoquée principalement par deux facteurs: 1) une augmentation globale de la probabilité d'une femme célibataire ayant un bébé - le «taux de natalité non martral» - et 2) augmente dans la part des femmes non mariées. Les analyses du Centre de recherche sur Pew révèlent que, en 1960, 72% de tous les adultes étaient mariés, d'ici 2010, cette part n'était que d'environ 51%. Le fait que les taux de naissance au sein du mariage ont diminué ont également contribué à des augmentations à long terme de la part des naissances non conjugales.
Il est important de garder à l'esprit que, simplement parce qu'une femme a une naissance non matrimonie, cela ne signifie pas nécessairement que la mère "va seul." Par exemple, à l'US.S., plus de la moitié des naissances qui se produisent en dehors du mariage sont aux femmes qui cohabitent.
Bien que la majorité des Américains disent que la part croissante des naissances non conjugales au cours des dernières décennies est «un changement pour le pire», cette attitude peut changer, et plus d'Américains que jamais qu'avoir que le fait d'avoir un enfant en dehors du mariage est moralement acceptable.
Une enquête de recherche sur la SEC de 2011 a révélé que 64% des adultes disent que davantage de personnes ayant des enfants sans se marier sont un changement pour le pire, tandis que 29% pensent que cela n'a pas fait beaucoup de différence, et seulement 4% disent que c'était un changement pour le mieux. Mais il y a une forte division générationnelle avec des millénaires (âgés de 18 à 30 ans en 2011) qui sont plus susceptibles de dire que cela ne fait aucune différence que les générations plus âgées.
Gallup a trouvé cette année cette année que 58% des adultes américains disent que le fait d'avoir un bébé en dehors du mariage est moralement acceptable - un changement notable de 2002, alors que moins de la moitié ont dit la même chose. L'acceptation est restée régulière environ 60% au cours des deux dernières années.
Gretchen Livingston est un ancien chercheur principal se concentre sur la fécondité et la démographie de la famille au Centre de recherche sur Pew.
Anna Brown est un associé de recherche axé sur la recherche sur les tendances sociales et démographiques au Centre de recherche sur Pew.
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