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Il y a beaucoup à faire dans Red Dead Rachat 2. Il y a tellement de choses que même lorsque je me dirigeai dans une ville pour quelques courses, je suis assiégé par des choses à acheter, des étrangers pour aider et des endroits où voler. Mais il y a un gars à la Saint-Valentin, je prends toujours le temps de parler avec, que je veux ou non. Cela me rappelle trop de situation dans ma vie réelle.
Ma première fois dans la ville de Valentine, j'ai repéré un homme à armée assis sur le sol qui mendie de la nourriture. Il semble être un vétéran de la guerre civile blessé. Après avoir étudié un peu l'histoire culturelle de la guerre civile (je ne peux pas recommander suffisamment la fascinante de cette République de souffrance, une histoire de la façon dont la guerre civile a changé la compréhension des Américains de la mort), je suis allé voir s'il avait quelque chose d'intéressant à dire à propos de la période ou de la semaine après les effets de la guerre. Il était effusive et bavard, et il semblait un peu inhabituel mais généralement inoffensif (quelque chose que vous ne pouvez pas dire à propos de beaucoup d'étrangers dans le jeu). Il m'a dit une histoire compliquée et a eu un peu trop sympathique. En tant que protagoniste Arthur, j'ai fait une petite discussion et je suis allé sur mon chemin.
Lors des retours suivants à la Saint-Valentin, j'ai eu l'impression d'avoir soudainement vu ce gars partout. Là, il était par la gare quand je devais juste payer mes primes. Là, il était dans le salon quand je voulais juste jouer à des jeux de bar. Je le verrais venir venir et penser, je n'ai pas le temps pour ça maintenant ... Et puis j'irais entrer dans une interaction avec lui. Ce n'était pas pour l'honneur Boost de parler aux personnes en ville (même si j'ai mal besoin d'honneur, étant donné à toutes les personnes que je continue de courir avec mon cheval). Même s'il n'est juste qu'un personnage de jeu vidéo, évitant-lui avoir été très grossier. Il semble que nos interactions comptent pour lui, et je ne veux pas être impoli.
Mon incapacité à éviter ce personnage à certains égards reflète une situation dans ma vie réelle. Vers minuit il y a plusieurs mois, j'ai eu une conversation avec une personne dans mon quartier qui a été un peu trop loin. Il m'a dit qu'il avait besoin d'aide pour obtenir une chambre dans un refuge à proximité et j'étais naïvement heureux d'essayer de l'aider à naviguer dans la bureaucratie. Cette tâche a ensuite grandi pour nécessiter plusieurs arrêts, diverses personnes et beaucoup de complications que je ne pensais pas que je ne pensais pas. Les choses ont commencé à se sentir de plus en plus sommaire jusqu'à ce que mon sens commun prévalait et je m'excuse, mais pas avant de lui donner plus d'argent que je me suis senti à l'aise. Après cela, je l'ai vu dans la même région la plupart des jours, et il me ferait pousser un nouvel accident qui nécessitait plus d'argent que le temps précédent.
Quand j'ai mentionné le gars à mes voisins, ils ont dit qu'ils avaient entendu les mêmes histoires de lui depuis des années. Beaucoup lui avaient donné beaucoup plus d'argent que je ne suis ni trop impliqué avec lui avant de le couper de leur vie. Il menaçait plusieurs d'entre eux, mais personne n'a particulièrement peur de lui. Tout le monde m'a conseillé d'être ferme sur mes frontières et de ne pas le laisser me corde plus loin que je ne voulais y aller.
Comme je le vois, cette personne dans mon quartier n'est que quelqu'un qui fait ce qu'il doit faire pour survivre. Il pourrait ne pas faire de son argent ni accéder à l'abri de la manière dont je le fais, mais je ne veux pas juger des circonstances qui nous ont conduits à faire les choses différemment. Je n'aime pas me sentir menti, mais personne ne veut être considéré comme une ventouse. L'itinérance est un problème systémique et je m'occupe particulièrement de ce qu'il fait avec l'un de l'argent que je lui donne. Mais j'ai toujours peur de nos longues conversations et de la maladresse de vouloir contester ses histoires mais être trop doux pour le faire. Je ne sais pas comment supporter mon sol. Je sais que je suis capable de fixer des frontières, mais dans cette situation, je continue à ne pas appeler de ces compétences.
Le vétéran des morts rouges n'est pas couché à Arthur, autant que je sache (j'ai beaucoup de jeu à jouer encore). Je n'ai pas trouvé de vraie raison d'éviter que cela me rappelle trop de ma situation réelle. Arthur est une personne beaucoup plus confiante et constante que moi et la dernière fois que j'ai vu le vétéran de Red Dead, je me demandais si je pouvais utiliser le moment pour pratiquer les limites de la fixation. J'ai vu le vétéran venir et décidé que ce serait le temps que je l'ai évité. J'ai eu des choses à faire et je n'ai pas dû tous les personnages dans ce jeu tentaculaire mon temps ou mon attention, et cela ne voulait pas dire que je ne l'aiderais pas à l'avenir s'il en avait besoin. Mais je me sentais immédiatement mal. Alors que j'ai essayé de faire appel à la motivation pour transformer le coin et que le vétéran s'est approché et j'ai cliqué sur le bouton pour interagir avec lui. Je soupirai à moi-même et ai attendu notre dialogue.
Les gens dans la vie réelle sont bien sûr plus compliqués que les personnages des jeux. Ils ne manquent pas de choses à dire et à faire sur leurs sentiers scripts, et il n'y a pas d'état de fin programmé à nos interactions. Le vétéran de Red Dead me rappelle quelque chose qui me stressant dans ma vie réelle, une sorte de jeu de rôle moins amusant que les jeux peuvent parfois fournir. Je sais qu'il y a des «faux» mendiants dans le jeu, bien que je ne les ai pas encore reçus. Peut-être que lorsque je les couronne, je serai en mesure de pratiquer la fixation des limites. Mais pour l'instant, je prends le long chemin à la maison à mon appartement et je m'empêche toujours de parler à ce gars à la Saint-Valentin.
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Il y a beaucoup à faire dans Red Dead Rachat 2. Il y a tellement de choses que même lorsque je me dirigeai dans une ville pour quelques courses, je suis assiégé par des choses à acheter, des étrangers pour aider et des endroits où voler. Mais il y a un gars à la Saint-Valentin, je prends toujours le temps de parler avec, que je veux ou non. Cela me rappelle trop de situation dans ma vie réelle.
Ma première fois dans la ville de Valentine, j'ai repéré un homme à armée assis sur le sol qui mendie de la nourriture. Il semble être un vétéran de la guerre civile blessé. Après avoir étudié un peu l'histoire culturelle de la guerre civile (je ne peux pas recommander suffisamment la fascinante de cette République de souffrance, une histoire de la façon dont la guerre civile a changé la compréhension des Américains de la mort), je suis allé voir s'il avait quelque chose d'intéressant à dire à propos de la période ou de la semaine après les effets de la guerre. Il était effusive et bavard, et il semblait un peu inhabituel mais généralement inoffensif (quelque chose que vous ne pouvez pas dire à propos de beaucoup d'étrangers dans le jeu). Il m'a dit une histoire compliquée et a eu un peu trop sympathique. En tant que protagoniste Arthur, j'ai fait une petite discussion et je suis allé sur mon chemin.
Lors des retours suivants à la Saint-Valentin, j'ai eu l'impression d'avoir soudainement vu ce gars partout. Là, il était par la gare quand je devais juste payer mes primes. Là, il était dans le salon quand je voulais juste jouer à des jeux de bar. Je le verrais venir venir et penser, je n'ai pas le temps pour ça maintenant ... Et puis j'irais entrer dans une interaction avec lui. Ce n'était pas pour l'honneur Boost de parler aux personnes en ville (même si j'ai mal besoin d'honneur, étant donné à toutes les personnes que je continue de courir avec mon cheval). Même s'il n'est juste qu'un personnage de jeu vidéo, évitant-lui avoir été très grossier. Il semble que nos interactions comptent pour lui, et je ne veux pas être impoli.
Mon incapacité à éviter ce personnage à certains égards reflète une situation dans ma vie réelle. Vers minuit il y a plusieurs mois, j'ai eu une conversation avec une personne dans mon quartier qui a été un peu trop loin. Il m'a dit qu'il avait besoin d'aide pour obtenir une chambre dans un refuge à proximité et j'étais naïvement heureux d'essayer de l'aider à naviguer dans la bureaucratie. Cette tâche a ensuite grandi pour nécessiter plusieurs arrêts, diverses personnes et beaucoup de complications que je ne pensais pas que je ne pensais pas. Les choses ont commencé à se sentir de plus en plus sommaire jusqu'à ce que mon sens commun prévalait et je m'excuse, mais pas avant de lui donner plus d'argent que je me suis senti à l'aise. Après cela, je l'ai vu dans la même région la plupart des jours, et il me ferait pousser un nouvel accident qui nécessitait plus d'argent que le temps précédent.
Quand j'ai mentionné le gars à mes voisins, ils ont dit qu'ils avaient entendu les mêmes histoires de lui depuis des années. Beaucoup lui avaient donné beaucoup plus d'argent que je ne suis ni trop impliqué avec lui avant de le couper de leur vie. Il menaçait plusieurs d'entre eux, mais personne n'a particulièrement peur de lui. Tout le monde m'a conseillé d'être ferme sur mes frontières et de ne pas le laisser me corde plus loin que je ne voulais y aller.
Comme je le vois, cette personne dans mon quartier n'est que quelqu'un qui fait ce qu'il doit faire pour survivre. Il pourrait ne pas faire de son argent ni accéder à l'abri de la manière dont je le fais, mais je ne veux pas juger des circonstances qui nous ont conduits à faire les choses différemment. Je n'aime pas me sentir menti, mais personne ne veut être considéré comme une ventouse. L'itinérance est un problème systémique et je m'occupe particulièrement de ce qu'il fait avec l'un de l'argent que je lui donne. Mais j'ai toujours peur de nos longues conversations et de la maladresse de vouloir contester ses histoires mais être trop doux pour le faire. Je ne sais pas comment supporter mon sol. Je sais que je suis capable de fixer des frontières, mais dans cette situation, je continue à ne pas appeler de ces compétences.
Le vétéran des morts rouges n'est pas couché à Arthur, autant que je sache (j'ai beaucoup de jeu à jouer encore). Je n'ai pas trouvé de vraie raison d'éviter que cela me rappelle trop de ma situation réelle. Arthur est une personne beaucoup plus confiante et constante que moi et la dernière fois que j'ai vu le vétéran de Red Dead, je me demandais si je pouvais utiliser le moment pour pratiquer les limites de la fixation. J'ai vu le vétéran venir et décidé que ce serait le temps que je l'ai évité. J'ai eu des choses à faire et je n'ai pas dû tous les personnages dans ce jeu tentaculaire mon temps ou mon attention, et cela ne voulait pas dire que je ne l'aiderais pas à l'avenir s'il en avait besoin. Mais je me sentais immédiatement mal. Alors que j'ai essayé de faire appel à la motivation pour transformer le coin et que le vétéran s'est approché et j'ai cliqué sur le bouton pour interagir avec lui. Je soupirai à moi-même et ai attendu notre dialogue.
Les gens dans la vie réelle sont bien sûr plus compliqués que les personnages des jeux. Ils ne manquent pas de choses à dire et à faire sur leurs sentiers scripts, et il n'y a pas d'état de fin programmé à nos interactions. Le vétéran de Red Dead me rappelle quelque chose qui me stressant dans ma vie réelle, une sorte de jeu de rôle moins amusant que les jeux peuvent parfois fournir. Je sais qu'il y a des «faux» mendiants dans le jeu, bien que je ne les ai pas encore reçus. Peut-être que lorsque je les couronne, je serai en mesure de pratiquer la fixation des limites. Mais pour l'instant, je prends le long chemin à la maison à mon appartement et je m'empêche toujours de parler à ce gars à la Saint-Valentin.
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