Cadeau de l’Aïd pour maman


Nombres, faits et tendances façonnant votre monde
À mesure que leurs rangs ont gonflé au cours des dernières décennies, les immigrants sont venus jouer un rôle de dépassement de la fertilité américaine, représentant près du quart (23%) des bébés nés aux États-Unis (mais seulement 14% de la population totale) . Un nouveau rapport de Centre de recherche sur Pew examine les tendances à long terme des naissances des États-Unis parmi les femmes nées aux États-Unis et les femmes nées à l'étranger et l'écart croissant de la part des naissances en dehors du mariage entre les deux groupes. Le rapport examine également la manière dont les profils financiers et démographiques de nouvelles mères varient selon eux non seulement sur leur nativité, mais également sur leur région et leur pays de naissance.
Voici les principales conclusions du rapport:
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L'augmentation des naissances américaines depuis 1970 a été entièrement animée par les naissances des mères immigrées. En 1970, le nombre annuel de naissances américaines était de 3,74 millions. D'ici 2014, le nombre avait augmenté de 7% à 4,00 millions. Pendant le même temps, le nombre annuel de naissances aux femmes immigrées a triplé de 274 000 à 901 000. Pendant ce temps, les naissances des femmes nées américaines ont diminué de 3,46 millions à 3,10 millions. En d'autres termes, n'était-ce pas pour l'augmentation des naissances aux femmes immigrées, le nombre annuel de naissances américaines aurait diminué depuis 1970.
2
Les naissances américaines en dehors du mariage ont diminué depuis 2008, principalement chez les femmes immigrées. À long terme, les naissances non méritaux ont eu lieu à la hausse des États-Unis en 2014, 40% de toutes les naissances américaines étaient des femmes non mariées, de 21% des naissances en 1984. Parmi les femmes nées à l'étranger, la part des naissances survenues En dehors du mariage, a atteint un hauteur de 37% en 2008 et a depuis chuté de manière constante. Parmi les femmes nées des États-Unis, la part des bébés nés en dehors du mariage est resté stable au cours de la même période. Alors que les femmes nées à l'étranger ont toujours été moins susceptibles d'avoir des bébés en dehors du mariage que les femmes nées américaines, l'écart d'environ 10% de pourcentage dans cette mesure en 2014 (42% contre 33%) est la plus large car les données sont devenues disponibles. en 1984.
3
La baisse des naissances non mariées à des mamans nées à l'étranger est dû en partie à leurs origines régionales en mutation. Ces dernières années, la part des bébés nés des mamans d'Amérique latine a diminué, tandis que la part des bébés nés pour les mamans des régions telles que l'Asie a augmenté. De nouvelles mères nées à l'étranger d'Amérique latine étaient à peu près quatre fois plus probables que les mamans d'Asie d'être célibataires en 2014. Ce changement reflète un changement plus important dans l'immigration américaine: l'Asie a récemment remplacé l'Amérique latine comme la plus grande source de nouveaux immigrants aux États-Unis.
4
  • Les femmes de neuf pays et un territoire américain représentent plus de la moitié des bébés nés de femmes nées à l'étranger dans les naissances américaines aux femmes du Mexique, de la Chine, de l'Inde, du Salvador, du Guatemala, des Philippines, du Honduras, du Vietnam, de la République dominicaine et Porto Rico a représenté 58% de toutes les naissances des mères immigrées aux États-Unis en 2014.
Bien que la plus grande part des naissances des mères nées à l'étranger en 2014 soit née au Mexique (32%), ce nombre a diminué de manière assez spectaculaire depuis 2005, date à laquelle elle se tenait à 45%.
5
Au-delà du statut matrimonial, de nouvelles mamans d'immigrants varient considérablement dans une variété de caractéristiques en fonction de leur apparence. Par exemple, environ 4% des nouvelles mères nées à l'étranger d'Inde - l'un des 10 plus grands pays d'origine chez de nouvelles mères nées à l'étranger - vivent dans la pauvreté, contre 49% des nouvelles mères du Honduras. Et les nouvelles mères du Vietnam, les Philippines et la Chine sont particulièrement susceptibles d'être des mères plus âgées. La nouvelle émotion de la mère de la mère née à l'étranger varie également de manière significative: les deux tiers des naissances des mères du Honduras ont eu lieu en dehors du mariage, tandis que pratiquement toutes les naissances des mamans indiennes se produisaient dans le mariage.
Gretchen Livingston est un ancien chercheur principal se concentre sur la fécondité et la démographie de la famille au Centre de recherche sur Pew.
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