Pour définir ses valeurs et son fonctionnement, le collectif a constitué un schéma représentant ses valeurs (à intégrer une fois finalisé) et rédigé une charte (à intégrer une fois mis à jour).
Il est acté que la gouvernance est horizontale et partagée. Elle est basée sur la prise de décision au consentement : là où, pour agir, le consensus exige que tous les participants à une décision soient unanimes, le consentement se contente du fait qu’aucun membre n’y oppose d’objection raisonnable. Une objection est jugée raisonnable si elle bonifie la proposition à l’étude ou l’élimine complètement. L’objection n’est plus synonyme d’obstruction mais d’identification de limites, de tolérances qui deviennent les conditions de réalisation de la proposition. Le processus permet de faciliter l’identification de ces conditions et la mise en pratique des décisions (aller plus loin sur cette méthode).